| | Jaffa, la mécanique de l’Orange Un film d'Eyal Sivan 52 minutes - Beta Digital - VO - FR/GB - 2009
Une production Luna Blue Film (Bruxelles), the factory (Paris), Alma Films et Trabelsi production (Israël)
Producteurs associés: RTBF (Télévision belge), France 5, Channel 8 et WDR.
Avec la participation du Centre du Cinéma et de l’Audiovisuel de la Communauté française de Belgique, du Centre National de la Cinématographie, Procirep / Angoa et des télédistributeurs wallons.
Réalisation:
Eyal Sivan Producteurs: Serge Kestemont, Hortense quitard, Frank Eskenazi, Arik Bernstein et Osnat Trabelsi
Image:
Vincent Fooy & Davi Zarif Son:
Jean-Jacques Quinet Montage image:
Audrey Maurion Montage son:
Jean-Jacques Quinet Mixage:
Jean-Jacques Quinet
Festivals, prix et sélections:
Invité d’honneur du festival IDFA 19/29 novembre 2009 - Amsterdam |
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L’histoire de la Palestine devenue Israël s’articule autour de représentations, d’images et de clichés.
Parmi tous les symboles partisans et opposés, entretenus, véhiculés et admis à propos de ce pays, un seul est commun à la Palestine comme à Israël : l’orange.
Raconter l’histoire de ce symbole, c’est raconter l’histoire de cette terre. L’image des oranges cultivées en Palestine et mondialement connues depuis plus de 100 ans sous le nom d’ "oranges de jaffa" (devenu le label JaffaTM, symbole de l’entreprise sioniste) est le cadre de ce film qui raconte la négation de la Palestine arabe il y a 60 ans, l’implantation de l’Etat d’Israël et son histoire.
L’orange de Jaffa, les orangeraies et, avant tout, le label JaffaTM servent de trame pour raconter une facette de la vie commune judéo-arabe en Palestine, le récit d’une convoitise coloniale, l’histoire d’un effacement, d’une nationalisation, puis d’une négation et, peut-être un jour - si les Dieux et les hommes le veulent bien – la genèse d’une histoire commune.
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